L'Ecologie Industrielle et Territoriale (EIT)
Premier pas vers la réduction de l'impact environnemental.

Elle repose sur une approche pragmatique qui considère qu’à une échelle géographique donnée (zone industrielle, agglomération, département…), et quel que soit son secteur d’activité, chacun peut réduire son impact environnemental en essayant d’optimiser et/ou de valoriser les flux (matières, énergies, personnes…) qu’il emploie et qu’il génère.

C’est là qu’ACTIF intervient ! En effet, grâce à cette plateforme vous allez pouvoir gérer différemment vos flux en visualisant les ressources disponibles sur votre territoire.

De plus l’EIT s’appuie  sur l’étude de la nature, de la provenance et de la destination des flux pour identifier et développer des synergies industrielles, initier de la mutualisation de moyens et de services, du partage d’infrastructures. Enfin l’écologie industrielle et territoriale peut même contribuer à l’émergence d’activités intermédiaires entre émetteurs et consommateurs.

« Concrètement, c’est ainsi que vos déchets et co-produits peuvent devenir une matière première dans une autre activité, ou que votre énergie peut provenir de la chaleur fatale d’un site voisin. » (Source ADEME)

En conclusion les bénéfices économiques, sociaux et environnementaux de l’EIT constituent ainsi des enjeux forts, tant pour les entreprises (compétitivité) que pour les collectivités (attractivité territoriale).

L'économie circulaire
Repenser son économie pour se tourner vers la durabilité.

« L’économie circulaire vise à changer de paradigme par rapport à l’économie dite linéaire, en limitant le gaspillage des ressources et l’impact environnemental, et en augmentant l’efficacité à tous les stades de l’économie des produits.

Succédant à la révolution industrielle, le XXe siècle a vu se développer une société de consommation qui a augmenté de façon très importante son prélèvement sur les ressources naturelles en le multipliant par un facteur 10.

Les travaux du programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) et d’autres organisations montrent que par la conjonction du développement démographique, de la croissance de la consommation dans les pays développés et de l’aspiration des pays émergents à un modèle de consommation similaire, le niveau de consommation des ressources naturelles sera inacceptable avant la moitié de ce siècle.
L’économie circulaire cible la gestion sobre et efficace des ressources. L’avenir va donc conduire à une mutation profonde des organisations (tant locales que mondiales) et des modes de vie. »

 Source : ADEME